Piégé travesti et en couche il va vivre un enfer psychologique

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il y a 7 ans

Piégé travesti et en couche il va vivre un enfer psychologique

Paul était seul chez lui en ce week-end de janvier. Sa colocataire étant partie pour les fêtes de fin d’année, il se laissait aller tranquillement à ses petits délires. Il ne faisait pas de mal et ne dérangeait personne en rêvant d’affection en couche sous une robe vichy achetée aux puces.

Revenons sur le pourquoi il avait eu cette idée de se féminiser et de mettre une protection pour personne incontinente afin de mieux comprendre le début de son calvaire.

Sa jeunesse s’est déroulée à la DASS, ballotté de famille d’accueil en famille d’accueil, de la tendresse et la douceur maternelle il n’en avait pas vraiment eu. Bien au contraire, il avait toujours du se battre, être le jeune homme fort qui soutenait et défendait sa petite soeur.

Pour le réveillon, le sachant seul chez lui, ses voisins l’avaient invité. Lors de cette soirée, l’amour maternel que sa voisine portait à ses deux filles l’avait fait rêver. Un peu mal à l’aise, le lendemain il achetait une robe d’occasion aux puces et un paquet de couches au supermarché du coin. Il désirait s’offrir un petit moment de douceur et s’était acheté un livre de coloriage. Son idée était de reproduire pour lui, ce qu’il avait fait le 31 décembre en aidant sa voisine. Le mari étant en retard, il s’était occupé des filles pendant que la mère finissait le repas et les avait faites colorier comme il l’avait fait en d’autres temps avec sa petite soeur. Quand la maman avait changé les filles en leur faisant de petits bisous sur le ventre et des papouilles, il en avait les larmes aux yeux.

Le samedi du début de son calvaire, il coloriait allongé sur une couverture au milieu du salon avec, comme vêtement, une couche et une robe vichy. Dans sa tête, comme les filles des voisins il avait une maman pour s’occuper de lui. Dans cette tendresse imaginaire, il s’est endormi à même le sol et c’est là que sa colocataire est arrivée avec une amie.

Réveillé par les rires bruyants et les quolibets des filles hilares et en plein délire, Paul est passé du paradis imaginaire à l’enfer. Replié sur lui même aux pieds des filles, il ne savait que dire, que répondre à leurs questions. Pire, la copine de sa détestable colocataire faisait des photos de lui avec son Iphone, parlait de Facebook, de choses qu’elle allait pouvoir raconter.

Complètement anéanti, l’énergie qu’il avait pour défendre sa soeur et se battre pour arriver à se construire une vie semblait l’avoir abandonné. Les garces en délire s’amusaient comme des folles à soulever sa robe et à toucher sa couche. Il voulut partir dans sa chambre et se cacher mais la copine encore plus garce que sa colocataire lui bloqua le passage en lui disant « tu vas être un beau bébé bien sage si non, je publie toutes les photos sur facebook. Allez suce ton pouce bébé et marche à quatre pattes ».

C’est à ce moment que Carole, sa colocataire, eut l’idée de profiter de la situation pour s’amuser pendant le week-end.

  • On va profiter d’avoir une petite fille à la maison pour lui apprendre des choses et la faire grandir un peu.

  • Moi je la trouvais belle en bébé fille ! Répondit Julie, l’amie de sa colocataire.

  • Moi aussi, mais pourquoi ne pas en profiter un peu ? Elle pourrait nous faire à manger et nous servir de boniche tout le week-end. Comme ça, nous n’aurions rien à faire.

Paul se rebella, en guise de représailles, Julie fit d’autres photos en lui annonçant qu’elles seraient sur son facebook dans moins d’une minute. Sa soeur et ses amis étant des adeptes de facebook où ils racontent leur vie, il abdiqua aussitôt et les supplia de garder le secret. Qu’il allait leur expliquer.

  • Tes explications on s’en tape, va nous faire à manger. Il fait faim. Répondit Carole en lui donnant une tape sur la couche.

L’appartement étant pourvu d’une cuisine à l’américaine, il offrit sa déchéance aux regards des filles pendant qu’il prépara le repas. La gorge serrée, il ne sut que répondre pour faire face aux furies en délire. Lorsqu’il dressa la table, il mit ce qu’il faut comme couverts et, à peine retourné pour attraper le plat de raviolis, Carole subtilisa les siens et mit une petite cuillère dans son assiette.

  • On ne donne pas de couteau aux bébés, et puis, oh, il me vient une idée, on va te faire un bavoir avec la serviette, cela évitera de te tacher. Dit Carole en se levant pour lui faire un bavoir.

Lorsqu’elle vit qu’il allait craquer et s’énerver, Julie fit deux photos en lui disant qu’il valait mieux qu’il soit sage.

  • J’ai envie d’aller aux toilettes ! Annonça Paul en se levant de table.

  • Que dalle, tu restes assis, un bébé ça fait dans la couche. Dit Julie en éclatant de rire.

Dans la couche, Paul ne cherchait que la douceur d’un rêve, l’idée de se laisser aller dedans n’était pas du tout à son goût. Il se contient donc pendant le repas en trépignant sur sa chaise.

  • Allez bébé, il est temps d’apprendre à faire la vaisselle ! Lui dit Carole d’un air moqueur.

Paul n’eut pas d’autres choix que d’abdiquer et de débarrasser la table avant d’aller faire la vaisselle. Avoir les mains dans l’eau fut fatal à sa contenance, il tenta une seconde fois d’aller aux toilettes, les filles refusèrent catégoriquement. C’est donc en finissant de laver les verres que sa vessie céda. Blême, il regarda entre ses jambes pour voir si son urine ruisselait. La couche ayant résisté, il fut rassuré et termina son ouvrage le plus discrètement possible. La chose faite, il indiqua aux filles qu’il devait aller faire la sieste, le refus fut immédiat de la part de Julie.

  • Non, non, tu viens t’asseoir sur le tapis à côté de nous, j’ai une idée ! Carole, et si nous en faisions une vraie fille ? Nous pourrions le maquiller et l’habiller un peu plus. Qu’en penses-tu ?

  • Génial, je cours chercher ce qu’il faut.

Paul n’en menait pas large et rêvait de se glisser sous le tapis lorsque sa colocataire revint avec son maquillage. Julie entreprit de le coiffer et de lui faire des couettes pendant que Carole lui mettait du rouge à lèvre. Elle lui fit les yeux et mit un peu de fond de tain, en lui disant qu’il était « belle », qu’il devenait une jolie petite fille. Quand soudain, Julie mima une crise d’affection et le tira contre elle pour lui faire des câlins. C’est en laissant courir ses mains qu’elle découvrit que la couche avait servi.

  • Mais il est tout mouillé le bébé ! Il faudrait le changer. Tu sais faire ?

  • Oui mais l’idée de m’occuper de lui ne m’amuse pas, je te laisse t’amuser.

  • Pas de souci, j’ai l’habitude. Aller bébé, couche-toi sur le dos, maman va s’occuper de toi !

  • Je te laisse faire, je vais chercher des clops en bas, j’en ai pour deux minutes.

  • Pas de souci, bébé va être sage, prend-moi un paquet de Malboro s’il te plait, je te rembourse demain.

Paul essaya de supplier Julie pour que ce délire se termine mais elle refusa net et entreprit de défaire la couche détrempée. Enervé, il poussa ses mains d’un geste brusque, Julie lui annonça que les photos seraient sur le net dans deux minutes. Dépité, il s’apprêtait à céder quand elle lui annonça qu’il méritait une fessée pour son geste déplacé. C’est lorsqu’il eut les jambes en l’air qu’elle entreprit de lui claquer les fesses. En position « diaper », la peau des fesses étant tendue, une fessée cela fait rapidement très mal. Paul couina mais, terrorisé à l’idée que des photos de lui finissent sur Facbook, abdiqua et se laissa faire. Il eut l’impression que ses fesses s’enflammaient. La fessée prit rapidement fin, il se laissa changer sans aucune résistance trop heureux que ses fesses et son sexe soient à l’abri des envies sadiques de cette furie.

  • Regarde ce que j’ai pris à la pharmacie qui est à côté du bureau tabac ! Dit Carole en entrant.

Dans ses mains, elle tenait un biberon et une sucette, Paul devint blême pour la énième fois. Elle n’allaient pas oser lui imposer ça ! Julie prit immédiatement la sucette, déchira l’emballage et la présenta à la bouche de Paul. Il grimaça mais céda par peur des représailles. Après être passée par sa chambre, Carole se rendit à la cuisine pour lui faire un biberon spécial. Après avoir écrasé trois de ses somnifères dans le biberon, elle mit du lait et du chocolat et se mit à l’agiter.

  • C’est pour qui ça ? Dit-elle en revenant vers eux.

Elle prit place sur le canapé en faisant un clin d’oeil à son amie puis invita Paul à venir boire son « bibi ». Horriblement mal à l’aise, il essaya de réfuter et demanda grâce. Julie saisit aussitôt son téléphone et lui fit voir, Paul céda et monta sur le canapé pour s’étendre comme un bébé sur les genoux de Carole. La tétine du biberon étant pour les bébés et les trous n’ayant pas été agrandis, la tété dura un certain temps. Les somnifères commencèrent à agir avant même qu’il soit terminé. Les Paupières de Paul devenaient de plus en plus lourdes, il peinait à garder les yeux ouverts. La tête brumeuse lovée contre la poitrine de sa colocataire, il perdit la raison et commença à apprécier la douceur du geste puis à se décontracter. Il s’endormit s’en même s’en rendre compte et ne sentit même pas les filles le coucher sur le canapé.

  • Je ai mis trois somnifères dans son biberon, nous sommes tranquilles pour un moment ma chérie. J’ai envie de toi.....

  • Hummmm, j’ai une soudaine envie d’être maternée.... J’étais presque jalouse quand il était couché sur tes genoux.

Les filles échangèrent quelques doux baisers avant d’aller prendre une douche coquine commune qui se termina dans la chambre de Carole. Après leurs étreintes saphiques et jouissances multiples avec un Melrose, un sextoy divin aspirant délicatement le clitoris pour le faire vibrer, les coquines s’accordèrent une sieste réparatrice. De son côté, Paul délirait dans son sommeil, il rêvait d’une famille, qu’il était encore un gamin en culotte courte. Que sa maman s’occupait de lui, il était heureux.

Lovées l’une contre l’autre, les filles furent réveillées trois heures plus tard par des cris. Inquiètes, elles se levèrent pour se rendre au salon où Paul était en train de faire un cauchemar. Paul criait « maman » comme un fou et pleurait dans un sommeil particulièrement agité.

  • Tu as peut-être un peu trop f o r c é sur les somnifères ! Il faut l’aider à se réveiller. Dit Julie inquiète.

  • Non, quand je suis très énervée j’en prends deux, lui n’en a eu que trois. Répondit Carole sur la défensive.

  • Peu nous importe, il faut le réveiller. Va chercher un gant et de l’eau fraîche ! Demanda Julie en attrapant la main de Paul pour le secouer.

Il l’attrapa sans s’en rendre compte et l’embrassa comme un désespéré en criant « maman » mettant Julie dans l’embarras. Ce n’est qu’au bout de vingt minutes qu’il émergea réellement et arrêta de tendre les bras pour saisir les filles. Il était en nage, sa robe était complètement trempée, son corps tremblait. Les filles le couvrirent avec attention, lui proposèrent de boire de l’eau et un peu honteuses se firent très câlines pour le réconforter.

Deux minutes plus tard, c’est elles qui pleuraient quand il vida son coeur malade et leur a expliqué qu’il avait perdu ses parents à l’âge de deux ans puis qu’il voulait vivre un instant de douceur quand elles sont arrivées. Particulièrement gênées, elles s’excusèrent platement, Julie supprima les photos compromettantes et lui jura que jamais personne ne connaîtrait son secret. Pour se faire pardonner, Carole refit un biberon et le prit dans ses bras où il fondit à nouveau en larmes.

D’un commun accord, les filles décidèrent de ne pas sortir le lendemain, que le dimanche serait une journée de nursing.

Depuis cette date, Carole est devenue plus gentille avec son colocataire, elle lui prête même des robes quand elle quitte la maison pour le week-end, mais cela est un secret.

Moralité : il n’est pas bien de juger et tyranniser gratuitement quelqu’un sans connaître son histoire.

Ecrivaillon

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